La région de la bourgogne connaît inlassablement depuis l’époque de la confrérie des chevaliers de Tastevin, l’essor énorme du succès fulgurant de leurs vins, des plus abordables au plus prestigieux, du blanc au rouge allant jusqu’au noir et des champs cultivées aux vignes contenant un nombre étonnant de grappe de raisins qui recouvrent tout le terroir et qui font un beau spectacle pour les yeux. Mais en fonction de quoi pourrait-on réussir à choisir un excellent vin ? Et de quel genre pourrait-il être ?
Les vins supérieurs à la moyenne
Le territoire des vignobles de la Bourgogne compte des niveaux dans l’échelle de classement des vins, il y en a quatre, chacune rend compte de ce qu’on nomme : les régionales, les communales, les premiers crus et les grands crus.
Les vins régionaux portent les noms de la région, la deuxième catégorie mentionnée porte ceux des villages, et les premiers crus ont toujours un lien avec les communes, par contre les grands crus ont leur propre désignation par rapport à leur authenticité, et ne symbolisent que 1 % de la production, ils font l’objet d’une renommée mondiale qui n’a pas d’égal, il y en a en total 33 grand cru, et seulement 24 sont de la lignée des vins rouges, comme le Richebourg, Musigny ou le Clos des Lambrays, Le Clos de Tart.
Ils se situent dans l’endroit qui jouit de la plus grande réputation vis-à-vis des vins rouges, la Cote de Nuit.
Pour avoir l’occasion de goûter à ces vins épiques, il faudrait faire un tour à la banque et retirer la somme qu’il faut. D’ailleurs, plusieurs ne sont pas sur le marché en raison de leur rareté et finissent aux enchères.
Le breuvage rouge le plus coûteux
Le site le plus réputé dans la vente et l’estimation de vins IDealwine, nous donne la possibilité de positionner les vins et l’un des vins de la région de bourgogne a abouti au prix phénoménale de 16 578 euros, ces domaines de la Romanée-Conti l’emportent dans le classement des meilleurs vins rouges, nous avons après George Roumier, Comte Liger Belair, Joseph Drouhin, etc.
Les millésimes veulent beaucoup dire
Le temps en général nous fait craindre le pire quand il file à toute allure, sans nous donner l’occasion d’appréhender ce qui se passe, mais pour le vin, c’est ce qui détermine sa conformité et son authenticité et ce qui nous démontre la date du vin, on le surnomme le millésime, et plus le vin vit longtemps, plus le prix et la qualité grimpent en flèche.
- Les millésimes divins sont ceux de 1989, 2005, 1990, 2009.
- Les plus admissibles vont de 1995, 1999 à 2006.
- Ceux qui gagnent en notoriété sont produits en 2018,2019.
D’autres alternatives pour mieux choisir
Hormis le fait de se fier aux appellations, on a le plaisir de participer aux événements de dégustation de vin, rien de mieux que de le faire tourbillonner dans votre verre et libérer l’effluve de sa texture afin de déterminer s’il convient à nos exigences gustatives, on n’est jamais mieux servi que par soi-même !
Il y a également les avis des connaisseurs du domaine viticole, à prendre au pied de la lettre, pour vous initier si vous êtes débutant ou vous conseiller si vous êtes un grand amateur.
Sans oublier les ouvrages qui servent de lanterne pour éclairer notre chemin vers toutes sortes de bons vins : La Revue du vin de France, Hachette vin, etc. Surfez sur le web afin de voir où en sont les critiques dans leur quête de la vérité comme : Decanter, Jeb Dunnuck, James Suckling, etc.
Est-ce que le vin rouge plait à tout le monde ?
Pas vraiment nécessaire de figurer dans la liste des grands crus pour avoir de la cote, les premiers crus ont, eux aussi, leurs spécificités et leur valeur et détrônent souvent leurs rivales comme : Le Gevrey-Chambertin Clos Saint Jacques 1999 qui a réussi à passer en tète, avec le prix de 4421 euros.
Le vin rouge reste une exception, qu’il soit à 13 ou à 2900 euros, il peut plaire à certains et à d’autres non, la qualité varie selon vos goûts et préférences, n’oublions pas que les goûts et les couleurs ne se discutent pas !